Beaucoup auront constaté le matraquage que nous subissons dès que nous entrons dans un magasin, un café, un lieu public et même parfois dans la rue par des chansons de caractère dépressif ou dysphoriques (le contraire d'euphorique).
On s'étonne ensuite que la sinistrose française s'installe partout.
Lire la suite "Pour contrer la pollution sonore des chanteurs dépressifs dans l'espace public" »
«Aujourd’hui, la direction du monde est confiée à un aveugle qui pérore dans une maison qui s’effondre.. […] Aucun argument, aucun raisonnement, aucune logique à opposer, ni même, – aucune révolution... Mais l’attaque de la pensée faussaire, la dénonciation de la vanité funeste d’une raison prisonnière de la matière, et pour cela, un marteau, pour frapper et encore frapper. Quel marteau aurait plus de force que de la réintroduction dans leur zone de réflexion de la métaphysique, la vraie, celle qui donne à l’homme et à sa pensée leurs vraies dimensions?»
Nous vivons une “Grande Dépression subvertie et invertie” ; elle frappe les plus pauvres, victimes non seulement désignées mais sans la moindre responsabilité dans rien, tandis qu’elle enrichit les plus riches, responsables de tout…
«Si seulement les hommes, qui ont bien, semble-t-il, le sentiment du poids qui pèse sur leur esprit et les accable de sa pesanteur, pouvaient aussi comprendre l’origine de ce sentiment, d’où vient cette énorme masse de malheur qui oppresse le cœur, ils ne mèneraient plus cette vie dans laquelle, le plus souvent, nous le voyons, personne aujourd’hui ne sait vraiment ce qu’il veut, où chacun cherche toujours à changer de place comme s’il était possible par là de déposer le fardeau qui pèse sur nous! Tel, souvent, sort d’une vaste demeure pour y rentrer sans tarder, découvrant qu’il n’est pas mieux dehors. Le voilà qui court en hâte vers sa maison de campagne, à bride abattue, comme s’il volait au secours de son logis en flammes! Dès qu’il en a touché le seuil, il bâille, ou sombre dans un profond sommeil, en quête d’oubli — à moins qu’il ne regagne précipitamment la ville qu’il lui tarde de revoir. C’est ainsi que chacun se fuit soi-même, et cet être qu’il nous est impossible de fuir, auquel malgré soi, on reste attaché, on le hait — on est malade et on ne comprend pas la cause de son mal…» (4)
La nature des choses, Paris, Arléa, 1992, p. 143-144.
Parmi les vigiles infatigables de l'actualité qui maintiennent sur la toile une information alternative aux médias officiels, l'historien Philippe Grasset occupe une place à part : celle d'un analyste exigeant qui scrute, depuis le site de defensa un objet bien particulier qu'il appelle le bloc B.A.O, (Bloc américaniste-occidental). Ce Bloc a un corps bien vivant, une psychologie, et donc un caractère, développe une eschatologie qui déploie une vision métaphysique du monde issue de cet être si particulier, le Bloc, et s'exprime à travers le rituel des media qui font inlassablement sa publicité et par les élites politiques qui le servent.
Ce bloc, Philippe Grasset le qualifie de Système, devenu anti-Système, ou de civilisation, devenue contre-civilisation, soulignant ainsi le passage de ce Système d'un état relativement structuré vers un état en cours de déstructuration ; et d'une croissance techno-scientifique devenue folle vers l'entropie inévitable.
« Comment peut-il se faire que dans une civilisation comme la nôtre, des faits patents puissent être travestis, sans réaction... des mensonges flagrants puissent être répétés sur plusieurs générations, sans réaction... des arrangements politico-financiers meurtriers puissent se dérouler sous nos yeux, sans réaction... des scientifiques réputés, même ’Nobélisés’, puissent interdire une découverte parce qu’elle les dérange, sans réaction... ? »
Lorsque je dis ’sans réaction’, ce n’est pas tout à fait exact. Il y a des gens qui s’insurgent, apportent des preuves, expliquent à qui le mensonge profite, démontent les mécanismes de désinformation... Mais ces gens là sont des apôtres, leur démarche les assure des pires avanies, de menaces sur leur emploi, leur famille, leurs biens, de procès, d’assassinat médiatique certain et d’assassinat tout court parfois.
via www.amessi.org
En 1982, le gouvernement britannique apprenait que les benzodiazépines (dérivés du valium : Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan...) pouvaient provoquer des troubles neurologiques graves. 30 ans plus tard... les médecins continuent de distribuer les pilules comme des Smarties !